L'actualité sur Journal 1990-1995
Les dernières actions
a écrit
sur le livre
, l'a recommandé, lui a attribué 8/10 et l'a ajouté à sa liste
livre de Jean-Luc Lagarce
Résumé : Je n'ai jamais interrompu mon Journal, j'y ai consacré machinalement beaucoup plus de temps encore, j'allais m'asseoir dans les cafés et je tenais mon petit registre et pour ne pas me noyer définitivement, j'ai tenté aussi de mettre au propre les cahiers précédents. Chaque jour, j'ai recopié calmement les années précédentes. Peut-être les choses reviendront-elles sans trop de violence, on se dit cela, je ne sais pas. On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même.Ce second volume, qui débute lors dit séjour à Berlin de Jean-Luc Lagune en 1990, présente les derniers cahiers, XVI à XXIII, de son journal.Extrait du livre :SAMEDI 9 JUIN 1990 Berlin. 23 heures.Nouveau cahier. Suite du précédent, terminé cet après-midi.Rencontre d'un jeune homme réservé - Joseph - étudiant américain ici à Berlin depuis trois ans. Discussion longue en trois langues au bar. C'est tout, mais bien agréable. Rendez-vous peut-être tout à l'heure à Connexion Bar.Lecture : Gens de Dublin de Joyce. Joli, mais on ne vous apprend rien, vous savez toujours tout.Rencontre hier, à déjeuner - où je suis arrivé en retard, perdu et dégoulinant de transpiration - avec Peter Krumme, dramaturge, traducteur de Genêt et ami de Nicole Roethel. Déjeuner avec une gentille jeune femme. Agréable. Intellectuel. Un peu trop bu.J'avance un peu sur Juste la fin du monde, mais ce n'est pas ça, non, ce n'est pas ça.Ce cahier est plus épais que les précédents. J'avais ça sous la main et je n'en faisais pas usage. Mais puisque je le pense, je le note, je songe qu'il sera le dernier puisqu'il suffira à me conduire aux extrémités. Nous verrons. Rendez-vous au volume XVII.
livre de Jean-Luc Lagarce
Résumé : Je n'ai jamais interrompu mon Journal, j'y ai consacré machinalement beaucoup plus de temps encore, j'allais m'asseoir dans les cafés et je tenais mon petit registre et pour ne pas me noyer définitivement, j'ai tenté aussi de mettre au propre les cahiers précédents. Chaque jour, j'ai recopié calmement les années précédentes. Peut-être les choses reviendront-elles sans trop de violence, on se dit cela, je ne sais pas. On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même.Ce second volume, qui débute lors dit séjour à Berlin de Jean-Luc Lagune en 1990, présente les derniers cahiers, XVI à XXIII, de son journal.Extrait du livre :SAMEDI 9 JUIN 1990 Berlin. 23 heures.Nouveau cahier. Suite du précédent, terminé cet après-midi.Rencontre d'un jeune homme réservé - Joseph - étudiant américain ici à Berlin depuis trois ans. Discussion longue en trois langues au bar. C'est tout, mais bien agréable. Rendez-vous peut-être tout à l'heure à Connexion Bar.Lecture : Gens de Dublin de Joyce. Joli, mais on ne vous apprend rien, vous savez toujours tout.Rencontre hier, à déjeuner - où je suis arrivé en retard, perdu et dégoulinant de transpiration - avec Peter Krumme, dramaturge, traducteur de Genêt et ami de Nicole Roethel. Déjeuner avec une gentille jeune femme. Agréable. Intellectuel. Un peu trop bu.J'avance un peu sur Juste la fin du monde, mais ce n'est pas ça, non, ce n'est pas ça.Ce cahier est plus épais que les précédents. J'avais ça sous la main et je n'en faisais pas usage. Mais puisque je le pense, je le note, je songe qu'il sera le dernier puisqu'il suffira à me conduire aux extrémités. Nous verrons. Rendez-vous au volume XVII.
livre de Jean-Luc Lagarce
Résumé : Je n'ai jamais interrompu mon Journal, j'y ai consacré machinalement beaucoup plus de temps encore, j'allais m'asseoir dans les cafés et je tenais mon petit registre et pour ne pas me noyer définitivement, j'ai tenté aussi de mettre au propre les cahiers précédents. Chaque jour, j'ai recopié calmement les années précédentes. Peut-être les choses reviendront-elles sans trop de violence, on se dit cela, je ne sais pas. On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même.Ce second volume, qui débute lors dit séjour à Berlin de Jean-Luc Lagune en 1990, présente les derniers cahiers, XVI à XXIII, de son journal.Extrait du livre :SAMEDI 9 JUIN 1990 Berlin. 23 heures.Nouveau cahier. Suite du précédent, terminé cet après-midi.Rencontre d'un jeune homme réservé - Joseph - étudiant américain ici à Berlin depuis trois ans. Discussion longue en trois langues au bar. C'est tout, mais bien agréable. Rendez-vous peut-être tout à l'heure à Connexion Bar.Lecture : Gens de Dublin de Joyce. Joli, mais on ne vous apprend rien, vous savez toujours tout.Rencontre hier, à déjeuner - où je suis arrivé en retard, perdu et dégoulinant de transpiration - avec Peter Krumme, dramaturge, traducteur de Genêt et ami de Nicole Roethel. Déjeuner avec une gentille jeune femme. Agréable. Intellectuel. Un peu trop bu.J'avance un peu sur Juste la fin du monde, mais ce n'est pas ça, non, ce n'est pas ça.Ce cahier est plus épais que les précédents. J'avais ça sous la main et je n'en faisais pas usage. Mais puisque je le pense, je le note, je songe qu'il sera le dernier puisqu'il suffira à me conduire aux extrémités. Nous verrons. Rendez-vous au volume XVII.
livre de Jean-Luc Lagarce
Résumé : Je n'ai jamais interrompu mon Journal, j'y ai consacré machinalement beaucoup plus de temps encore, j'allais m'asseoir dans les cafés et je tenais mon petit registre et pour ne pas me noyer définitivement, j'ai tenté aussi de mettre au propre les cahiers précédents. Chaque jour, j'ai recopié calmement les années précédentes. Peut-être les choses reviendront-elles sans trop de violence, on se dit cela, je ne sais pas. On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même.Ce second volume, qui débute lors dit séjour à Berlin de Jean-Luc Lagune en 1990, présente les derniers cahiers, XVI à XXIII, de son journal.Extrait du livre :SAMEDI 9 JUIN 1990 Berlin. 23 heures.Nouveau cahier. Suite du précédent, terminé cet après-midi.Rencontre d'un jeune homme réservé - Joseph - étudiant américain ici à Berlin depuis trois ans. Discussion longue en trois langues au bar. C'est tout, mais bien agréable. Rendez-vous peut-être tout à l'heure à Connexion Bar.Lecture : Gens de Dublin de Joyce. Joli, mais on ne vous apprend rien, vous savez toujours tout.Rencontre hier, à déjeuner - où je suis arrivé en retard, perdu et dégoulinant de transpiration - avec Peter Krumme, dramaturge, traducteur de Genêt et ami de Nicole Roethel. Déjeuner avec une gentille jeune femme. Agréable. Intellectuel. Un peu trop bu.J'avance un peu sur Juste la fin du monde, mais ce n'est pas ça, non, ce n'est pas ça.Ce cahier est plus épais que les précédents. J'avais ça sous la main et je n'en faisais pas usage. Mais puisque je le pense, je le note, je songe qu'il sera le dernier puisqu'il suffira à me conduire aux extrémités. Nous verrons. Rendez-vous au volume XVII.
livre de Jean-Luc Lagarce
Résumé : Je n'ai jamais interrompu mon Journal, j'y ai consacré machinalement beaucoup plus de temps encore, j'allais m'asseoir dans les cafés et je tenais mon petit registre et pour ne pas me noyer définitivement, j'ai tenté aussi de mettre au propre les cahiers précédents. Chaque jour, j'ai recopié calmement les années précédentes. Peut-être les choses reviendront-elles sans trop de violence, on se dit cela, je ne sais pas. On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même.Ce second volume, qui débute lors dit séjour à Berlin de Jean-Luc Lagune en 1990, présente les derniers cahiers, XVI à XXIII, de son journal.Extrait du livre :SAMEDI 9 JUIN 1990 Berlin. 23 heures.Nouveau cahier. Suite du précédent, terminé cet après-midi.Rencontre d'un jeune homme réservé - Joseph - étudiant américain ici à Berlin depuis trois ans. Discussion longue en trois langues au bar. C'est tout, mais bien agréable. Rendez-vous peut-être tout à l'heure à Connexion Bar.Lecture : Gens de Dublin de Joyce. Joli, mais on ne vous apprend rien, vous savez toujours tout.Rencontre hier, à déjeuner - où je suis arrivé en retard, perdu et dégoulinant de transpiration - avec Peter Krumme, dramaturge, traducteur de Genêt et ami de Nicole Roethel. Déjeuner avec une gentille jeune femme. Agréable. Intellectuel. Un peu trop bu.J'avance un peu sur Juste la fin du monde, mais ce n'est pas ça, non, ce n'est pas ça.Ce cahier est plus épais que les précédents. J'avais ça sous la main et je n'en faisais pas usage. Mais puisque je le pense, je le note, je songe qu'il sera le dernier puisqu'il suffira à me conduire aux extrémités. Nous verrons. Rendez-vous au volume XVII.
livre de Jean-Luc Lagarce
Résumé : Je n'ai jamais interrompu mon Journal, j'y ai consacré machinalement beaucoup plus de temps encore, j'allais m'asseoir dans les cafés et je tenais mon petit registre et pour ne pas me noyer définitivement, j'ai tenté aussi de mettre au propre les cahiers précédents. Chaque jour, j'ai recopié calmement les années précédentes. Peut-être les choses reviendront-elles sans trop de violence, on se dit cela, je ne sais pas. On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même.Ce second volume, qui débute lors dit séjour à Berlin de Jean-Luc Lagune en 1990, présente les derniers cahiers, XVI à XXIII, de son journal.Extrait du livre :SAMEDI 9 JUIN 1990 Berlin. 23 heures.Nouveau cahier. Suite du précédent, terminé cet après-midi.Rencontre d'un jeune homme réservé - Joseph - étudiant américain ici à Berlin depuis trois ans. Discussion longue en trois langues au bar. C'est tout, mais bien agréable. Rendez-vous peut-être tout à l'heure à Connexion Bar.Lecture : Gens de Dublin de Joyce. Joli, mais on ne vous apprend rien, vous savez toujours tout.Rencontre hier, à déjeuner - où je suis arrivé en retard, perdu et dégoulinant de transpiration - avec Peter Krumme, dramaturge, traducteur de Genêt et ami de Nicole Roethel. Déjeuner avec une gentille jeune femme. Agréable. Intellectuel. Un peu trop bu.J'avance un peu sur Juste la fin du monde, mais ce n'est pas ça, non, ce n'est pas ça.Ce cahier est plus épais que les précédents. J'avais ça sous la main et je n'en faisais pas usage. Mais puisque je le pense, je le note, je songe qu'il sera le dernier puisqu'il suffira à me conduire aux extrémités. Nous verrons. Rendez-vous au volume XVII.
livre de Jean-Luc Lagarce
Résumé : Je n'ai jamais interrompu mon Journal, j'y ai consacré machinalement beaucoup plus de temps encore, j'allais m'asseoir dans les cafés et je tenais mon petit registre et pour ne pas me noyer définitivement, j'ai tenté aussi de mettre au propre les cahiers précédents. Chaque jour, j'ai recopié calmement les années précédentes. Peut-être les choses reviendront-elles sans trop de violence, on se dit cela, je ne sais pas. On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même.Ce second volume, qui débute lors dit séjour à Berlin de Jean-Luc Lagune en 1990, présente les derniers cahiers, XVI à XXIII, de son journal.Extrait du livre :SAMEDI 9 JUIN 1990 Berlin. 23 heures.Nouveau cahier. Suite du précédent, terminé cet après-midi.Rencontre d'un jeune homme réservé - Joseph - étudiant américain ici à Berlin depuis trois ans. Discussion longue en trois langues au bar. C'est tout, mais bien agréable. Rendez-vous peut-être tout à l'heure à Connexion Bar.Lecture : Gens de Dublin de Joyce. Joli, mais on ne vous apprend rien, vous savez toujours tout.Rencontre hier, à déjeuner - où je suis arrivé en retard, perdu et dégoulinant de transpiration - avec Peter Krumme, dramaturge, traducteur de Genêt et ami de Nicole Roethel. Déjeuner avec une gentille jeune femme. Agréable. Intellectuel. Un peu trop bu.J'avance un peu sur Juste la fin du monde, mais ce n'est pas ça, non, ce n'est pas ça.Ce cahier est plus épais que les précédents. J'avais ça sous la main et je n'en faisais pas usage. Mais puisque je le pense, je le note, je songe qu'il sera le dernier puisqu'il suffira à me conduire aux extrémités. Nous verrons. Rendez-vous au volume XVII.
livre de Jean-Luc Lagarce
Résumé : Je n'ai jamais interrompu mon Journal, j'y ai consacré machinalement beaucoup plus de temps encore, j'allais m'asseoir dans les cafés et je tenais mon petit registre et pour ne pas me noyer définitivement, j'ai tenté aussi de mettre au propre les cahiers précédents. Chaque jour, j'ai recopié calmement les années précédentes. Peut-être les choses reviendront-elles sans trop de violence, on se dit cela, je ne sais pas. On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même.Ce second volume, qui débute lors dit séjour à Berlin de Jean-Luc Lagune en 1990, présente les derniers cahiers, XVI à XXIII, de son journal.Extrait du livre :SAMEDI 9 JUIN 1990 Berlin. 23 heures.Nouveau cahier. Suite du précédent, terminé cet après-midi.Rencontre d'un jeune homme réservé - Joseph - étudiant américain ici à Berlin depuis trois ans. Discussion longue en trois langues au bar. C'est tout, mais bien agréable. Rendez-vous peut-être tout à l'heure à Connexion Bar.Lecture : Gens de Dublin de Joyce. Joli, mais on ne vous apprend rien, vous savez toujours tout.Rencontre hier, à déjeuner - où je suis arrivé en retard, perdu et dégoulinant de transpiration - avec Peter Krumme, dramaturge, traducteur de Genêt et ami de Nicole Roethel. Déjeuner avec une gentille jeune femme. Agréable. Intellectuel. Un peu trop bu.J'avance un peu sur Juste la fin du monde, mais ce n'est pas ça, non, ce n'est pas ça.Ce cahier est plus épais que les précédents. J'avais ça sous la main et je n'en faisais pas usage. Mais puisque je le pense, je le note, je songe qu'il sera le dernier puisqu'il suffira à me conduire aux extrémités. Nous verrons. Rendez-vous au volume XVII.