J'avoue que je ne connaissais absolument pas la collection Crimson chez Panini, ce roman en est ma première découverte et je dois dire que c'est plutôt un bon début !


Joanna Archer est l'une des filles d'un grand homme de Las Vegas, possédant un casino très fréquenté. Malheureusement, elle est le vilain canard de la famille Archer, contrairement à sa soeur, Olivia, qui a tout pour réussir. Après un rendez-vous "amoureux", le jour de son 25ème anniversaire, Joanna va devoir affronter de lourdes révélations sur elle-même et sa propre famille, ainsi qu'un univers surnaturelle dont elle ignorait totalement l'existence !


J'ai tout de suite adhéré au personnage de Joanna, femme qui accepte sa place de "paria" de la famille, mais désirant changer sa vie, couper le cordon avec son père, enfin, celui qu'elle pensait être son père. Je pense que lors de ces lourdes révélations à propos de sa mère, j'étais aussi choquée que Joanna, je me suis littéralement mise à sa place ... A fond dans ma lecture ! D'autres personnages font leur apparition, évidemment, mais aucun ne m'a plût autant qu'elle. Ben par exemple, forcément un peu cliché vu qu'il s'agit d'un flic, sauvant Joanna au début du roman, puis on apprends rapidement qu'ils ont eu déjà une relation ensemble et que la possibilité de remettre le couvert est plus que présent !
Bon, j'avoue quand même un point qui m'a perturbé, certains détails de l'histoire qui sont un peu glauque. Je ne peux pas réellement en parler sans vous spoiler, mais ils concernent l'agresseur de Joanna (agressée à l'âge de 16ans) ainsi que sa soeur, Olivia. Vague, je le sais bien, mais je pense aussi à vous !


Ma seule crainte sur cette lecture était d'avoir un début lent, de longs moments de blabla, chose que j'ai pu rencontrer dans d'autres livres de ce genre, surtout pour un premier tome, mais je me trompais lourdement ! Il n'a fallu que quelques pages pour que les rebondissements commencent et ont du mal à stopper !
Vikki Pettersson n'aime donc pas attendre pour nous montrer de quoi elle est capable. Chose plus que positive. Bien que l'histoire soit comme beaucoup d'autres : Le Bien contre le Mal, les Gentils contre les Méchants vilains tout pas beaux, à mes yeux, elle est sorti du lot d'auteurs d'urban fantasy en zappant les vampires pour laisser place aux ... Signes du Zodiaque ! Original, non ? Je ne pense pas les avoir croiser dans une autre lecture. Non seulement c'est du nouveau, mais en plus, c'est détaillé et cohérent dans la limite du possible. Cette porte lui laisse énormément de choix dans la tournure de l'histoire et pour le moment j'adore ! Je reste toutefois sur mes gardes vu que ce n'est qu'un début, deux autres tomes suivant pour le moment, je préfère ne pas parler de coup de coeur, mais la saga est bien partie pour se faire une fan française !


Je suis donc très contente d'avoir pris ce premier roman, je ne regrette pas mon achat compulsif et je compte bien poursuivre la saga (le second tome étant déjà repérer pour mon prochain craque) pour vous en dire plus et, pourquoi pas, vous faire craquer à votre tour !

AudreyS
9
Écrit par

Créée

le 1 déc. 2015

Critique lue 98 fois

AudreyS

Écrit par

Critique lue 98 fois

D'autres avis sur L'Essence des ténèbres - L'étreinte du Zodiaque, tome 1

Du même critique

Arena 13
AudreyS
10

Critique de Arena 13 par AudreyS

En tant que grande fan de Joseph Delaney, je ne pouvais pas passer à côté de cette nouveauté ! Et c'est sans regrets que je viens vous en parler... Dans une époque très sombre pour l'humanité, cette...

le 1 déc. 2015

J'étais là
AudreyS
9

Critique de J'étais là par AudreyS

Meg vient de perdre sa meilleure amie, sa soeur de coeur, sa confidente, son monde s'écroule et pourtant... Elle doit continuer à vivre avec ce goût amer d'une perte d'elle-même, d'un vide qu'elle ne...

le 1 déc. 2015

L'Élégance du hérisson
AudreyS
8

Quelle claque ...

Renée est une femme attachante, concierge dans un immeuble et n'ayant pas un physique, ni une vie bien rose ... Elle croise quotidiennement la petite Paloma, habitant dans le même immeuble. Cette...

le 1 déc. 2015