Une captivante dystopie
Incommensurable fan de la série de fantasy L’Épouvanteur, j’étais on ne peut plus curieux de découvrir le nouveau roman de Joseph Delaney, que ce dernier avait annoncé comme étant le début d’une...
Par
le 7 juin 2016
En tant que grande fan de Joseph Delaney, je ne pouvais pas passer à côté de cette nouveauté ! Et c'est sans regrets que je viens vous en parler...
Dans une époque très sombre pour l'humanité, cette dernière est réduite à rester confiner dans de petits villages, dirigés par des machins ayant une conscience, donc redoutables. Pour seule occupation, les arènes et leurs combats. Leif est un jeune homme dont l'envie de combattre dans la plus grande arène, l'arène 13, est si forte qu'il fera absolument tout pour y arriver. Il va trouver en Tyron, un grand maître, une belle opportunité d'apprendre, mais cet apprentissage va être riche en couleur ...
Encore une fois, Joseph Delaney choisit un jeune homme dont le passé est sombre comme personnage principal, après Thomas, voici Leif. Attachant, solitaire, avec une volonté de fer, il m'a très vite convaincu de son potentiel et je l'ai soutenu tout au long du récit. Son entourage est composé de membres uniques en leur genre. Tyron, le maître, fait office de figure paternel et recadre Leif lorsqu'il le faut, ne souhaitant que sa réussite alors qu'ils ne se connaissent que depuis peu. Un seul sujet bloque entre les deux, c'est à propos de Kwin, la fille de Tyron avec laquelle Leif est très proche au point de l'aider à s'entraîner aux bâtons, chose interdite aux femmes comme aux jeunes filles. Cette demoiselle a un sacré caractère aussi, mais, chose étonnante, elle ne m'a pas fait fondre comme d'autres personnages littéraires que j'ai pu rencontré. Mes préférences vont, sans hésiter, à Leif, mais aussi Tyron, que je trouve sage et protecteur.
Quant à l'histoire en elle-même, elle a sa complexité qui rend l'avancée intéressante. L'envie de comprendre les décisions des personnages est forte, mais plu fort encore est l'envie de savoir ce qu'il va leur arriver, surtout Leif une fois dans l'arène 13. La touche mytologique de l'histoire donne un décor magnifique et ne m'a pas choqué avec ce côté futuriste : l'humanité disparaît et les surviviants sont "esclaves" de robots dotés de consciences ... Un cocktail que j'admire car avec sa plume, que je connais maintenant bien, Joseph Delaney m'a transporté durant ces 400 pages. J'en redemande et je sais que l'attente du second tome va être longue ...
Créée
le 1 déc. 2015
Critique lue 243 fois
D'autres avis sur Arena 13
Incommensurable fan de la série de fantasy L’Épouvanteur, j’étais on ne peut plus curieux de découvrir le nouveau roman de Joseph Delaney, que ce dernier avait annoncé comme étant le début d’une...
Par
le 7 juin 2016
Même si le monde décrit est très différent de L’apprenti épouvanteur on reconnaît bien un certain ton de l’auteur, notamment dans sa façon de décrire ce monde. On voit bien qu’il en a une idée très...
le 1 juil. 2016
La nouvelle série sensation de l’auteur de L’épouvanteur, servie par un plan com’ bien fourni (beaucoup de pub, grosse mise en place en librairie, masse critique Babélio). Personnellement, j’ai...
Par
le 16 mars 2016
Du même critique
En tant que grande fan de Joseph Delaney, je ne pouvais pas passer à côté de cette nouveauté ! Et c'est sans regrets que je viens vous en parler... Dans une époque très sombre pour l'humanité, cette...
Par
le 1 déc. 2015
Meg vient de perdre sa meilleure amie, sa soeur de coeur, sa confidente, son monde s'écroule et pourtant... Elle doit continuer à vivre avec ce goût amer d'une perte d'elle-même, d'un vide qu'elle ne...
Par
le 1 déc. 2015
Renée est une femme attachante, concierge dans un immeuble et n'ayant pas un physique, ni une vie bien rose ... Elle croise quotidiennement la petite Paloma, habitant dans le même immeuble. Cette...
Par
le 1 déc. 2015