Je vais juste dire qu'on est en 1856, soit un peu avant le début de la Guerre de Sécession. Et qu'on peut décider d'avoir à lire entre les mains l'une des causes majeures du déclenchement de cette guerre. (moi ch'rai toi je le ferai si tu t'intéresses à l'histoire américaine et l'histoire surtout des noirs américains qu'on entend pas souvent quand on est blanc et européen).
Je vais aussi dire parce que ça me paraît un important, que le narrateur est loin d'être un héros et que si vous avez besoin de quelques ficelles pour être un vrai pétochard, doublé d'un tire au flanc, alors vous pouvez suivre le récit d'Henrietta.
Oui. Henrietta, parce qu'Henry est entraîné malgré lui par John Brown qui le prend direct pour une petite fille noire qu'il va prendre sous son aile, à qui il va rendre sa liberté, tout en lui inculquant la voix de Dieu.
Sinon je vous souhaite à tous de vous marrer autant que je l'ai fait, de passer l'action un peu lente (qu'on justifie parce que le gosse est une vraie tête à claques et que malgré qu'il ait été témoin des dernières heures du plus grand abolitionniste de tous les temps, ça reste un gosse qui s'est planqué sous des vêtements de fille pour sauver sa peau).
J'ai appris plein de trucs sur John Brown (sachant que je savais pas qui c'était je me suis fardé sa bio wikipédia après et putain, wow).
Au final j'en ai dit beaucoup plus que ce que je voulais mais c'est pas facile d'en dire très peu quand on a eu un gros coup de cœur.