La pluie. La nuit. Et l’horreur. L’explosion a déchiqueté les cadavres des sept amis réunis à Ouglange pour fêter leur quarantième anniversaire.
Mais qui a pu s’introduire dans le presbytère pour poser la bombe ? Un opposant à la mairie ? Un activiste révolutionnaire ? Un jaloux ?
̶ Alors, Bolitch ? Aboie le commissaire, tandis que le jeune inspecteur questionne les habitants, arpente le village à la recherche d’un mobile et du meurtrier.
Des rideaux qui bougent sur son passage dans la grand-rue, des « sale flic ! » murmurés à son oreille, des non-dits, des mensonges... Christian Schott réunit dans L’orage les ingrédients d’un bon polar : des personnages présents et marquant le récit de leurs caractères, des descriptions précises comme les images d’un film, un suspense permanent du début à la fin.
À déguster.