La communauté vaporiste vous salue bien !

Nous voici dans une uchronie. Le point de divergence : Waterloo gagnée par Napoléon grâce à une invention appelée « La Grande Machine ». Mais alors pourquoi ne pas l’avoir utilisée 55 ans plus tard pour éviter la défaite de Sedan ? Après que Paris ait été assiégée par les Prussiens en 1870, La Commune est déclarée. C’est là que débute notre histoire. Nous allons suivre un agent britannique Edward Parrow envoyé sur le sol français pour une mission secrète. Il est flanqué d’un Français expatrié à Londres André de Favard qui lui servira plus ou moins de couverture.
Le roman nous est présenté dans son avant-propos comme la retranscription des notes qu’André de Favard aurait écrites durant son périple. L’original n’aurait pas encore été retrouvé et nous aurions entre les mains les retranscriptions (et modifications inévitables) qui circuleraient en France clandestinement depuis plus d’un siècle.
Roman d’aventure qui nous fait traverser la France de la Bretagne à Marseille en passant par Paris, le Nord, Lyon et Toulouse, « La France Steampunk » nous permet de rencontrer l’esprit de la Commune. Le plus de ce roman, c’est qu’Etienne Barillier et Arthur Morgan se sont adjoint le talent de Nicolas Meunier qui a mis en scène la communauté vaporiste française pour illustrer ce roman en les présentant comme une reconstitution historique du propos. Bon je ne vais pas vous cacher que j’ai un penchant naturel pour les toulousains de Rêves Temporels !