Le roman noir, La saison des ouragans, relate crûment ce qu’il arrive lorsque les systèmes et les vies sont laissés à elles-mêmes et gouvernés par la pauvreté et sa violence, le machisme et sa misogynie, la superstition et ses préjugés, notamment l’homophobie à son paroxysme.
Sans oublier les narcos qui sont omniprésents.
Les croyances qui soutiennent les personnages de l’oeuvre, sont probablement tirées de la région natale de l’autrice mexicaine, Veracruz. Cette région est fortement empreint, d’une part, par « le Vaudou - la Santeria » provenant d’Afrique subsaharienne mais aussi, d’autre part, des croyances et rites provenant des premières nations totonaques (Totonaco) de cette partie du Mexique.
Premier livre traduit en français, et non le moindre. Je vous le recommande violemment.