Cet été 1972, en pleine guerre froide, Reykjavik accueille le championnat du monde d’échecs entre l’Américain Fischer et le Russe Spassky, considéré comme le match du siècle par les spécialistes.
Parallèlement un jeune homme est retrouvé poignardé dans un cinéma.
Qui est ce jeune homme apparemment sans histoire, menant une vie rangée dont la seule passion semble être le septième art ?
Où est passé le magnétophone que le jeune homme avait toujours avec lui ?
Ce meurtre est-il lié au tournoi d’échec ?
Autant de questions que devra résoudre Marion Briem chargée de l’enquête dans une ville en effervescence.
J’ai aimé la lenteur de cette enquête qui prend son temps J’y ai retrouvé un peu de l’atmosphère bien particulière qui imprégnait les romans d’espionnage de Virgil Gheorghiu que je dévorais lorsque j’étais ado.
Une fois de plus je suis séduite par la virtuosité d’Arnaldur Indridason et vais poursuivre ma découverte de son œuvre.