Dans un premier temps, ce sont des choses qui disparaissent. Si c’est intrigant, ce n’est pas particulièrement problématique. Mais quand ce sont les habitants de la province qui s’évaporent, là c’est plus grave.
D’intrigue policière variant sur le thème d’un Sherlock Holmes de pacotille, le roman tourne alors lentement vers le fantastique tout en dissimulant derrière son approche science-fictionnelle un pamphlet écolo-humanisto-végétarien. En effet, l’auteur dénonce les expériences animales, la vivisection et le rapport bestial que l’homme entretient justement avec les animaux.
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