Un voyage merveilleux
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« Le postier » de Bentley Little est un livre que je recherchais depuis quelque temps. J’avais lu et apprécié « Révélation » du même auteur. J’étais plutôt enthousiasmé de trouver un nouvel auteur terreur.
Même si c’est moins vrai à notre époque, – ère numérique oblige – le facteur est le lien social qui nous unit. Il nous achemine des bonnes et des moins bonnes nouvelles. Dans les petites bourgades, c’est un peu un membre de la famille. Alors imaginez lorsque celui qui nous apporte notre courrier depuis de très nombreuses années, se suicide. C’est ce qui est arrivé à Willis en Arizona. Son successeur mystérieux n’est pas le bienvenue.
« Le postier » est un roman de 350 pages, mais pourrait très bien tenir sur une centaine. Les événements sont redondants. Ainsi, le personnage principal va aller se plaindre 6 fois au commissariat, au moins autant de fois à la poste et se voir couper l’électricité 3 fois. Autant au début, j’étais enthousiaste avec ce nouveau facteur machiavélique. J’ai même apprécié deux ou trois choses comme l’anecdote des bûcherons, qui m’a fait sourire, ainsi ce qui arrive à l’ami du personnage principal.
Mais voilà, le reste c’est très mal construit. D’ailleurs, on reste en suspend sur les raisons de ce méchant facteur, car la dernière page tournée, on ne saura jamais comment il put connaître chaque histoire des villageois et l’exploiter.
Les chapitres s’enchaînent sur la vie d’une famille. Le plus souvent, on suit le père, un peu moins le fils et encore moins la mère. Le machiavélique postier est raté. Il aurait pu être intéressant, or, il est toujours décrit avec des termes négatifs.
Ajoutons à cela une fin “WTF” totalement rocambolesque, tiré par les cheveux. Dommage parce que l’idée centrale du livre est mal exploitée. « Le postier » est un livre mauvais et trop répétitif.
Créée
le 3 févr. 2019
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