Daniel vit son enfance seul avec sa mére. D’aprés elle, il est atteint d’une grave maladie et doit rester dans son lit toute la journée. Sa seule compagnie ? Quelques livres et une maison de poupée qui retranscrit dans les détails celle de sa mére, celle qu’elle avait à l’époque. Un jour, des habitants du village se posent des questions et les autorités frappent à la porte de la maison pour qu’un docteur diagnostique Daniel. Ce qui va tout changer à sa vie…
Le passage du diable est un livre un peu particulier en cela qu’il se lit trés vite malgré ses 365 pages, car les événements s’enchainent, selon moi, trop vite. Alors est-ce mon habitude de lire des romans plus lent (ceux de Stephen King et de Christopher Priest entre autre) qui m’a donné cette impression ? Aucune idée mais malgré tout, j’ai bien aimé le livre. Déjà parcequ’il est imprévisible et ne comporte au final que peu d’éléments fantastiques. Un seul en fait, décisif certes, mais isolé. Mais aussi parceque Daniel est diablement attachant, tout comme les autres personnages qu’il rencontre à l’exception d’un seul.
Il est difficile d’en dire trop sans révéler quoi que ce soit à l’intrigue et au final mais sachez que la fameuse maison de poupées est au centre de tout et que le livre se divise de deux parties distincte : Daniel retrouvant le monde réel, et celle où on découvre la véritable signification de cette maison. Un livre donc qui, malgré mes quelques réserves, m’a bien plus et que je peux vous conseiller !