Une suite un peu faiblarde
Pour en savoir plus, lisez ma critique sur mon blog Le tourneur de pages https://tourneurdepages.wordpress.com/2017/07/31/le-retour-de-jules/
Par
le 31 juil. 2017
Dans un premier temps, je tiens remercier les éditions Albin Michel et Gilles Pâris pour ce partenariat
Il y a deux ans, je m’étais jeté à corps perdu dans le premier tome simplement intitulé « Jules » (vous noterez la finesse de l’auteur qui à cette fois intitulé ce deuxième tome « Le retour de Jules », ce qui à le mérite d’être clair.)
Et comme à ma lecture du premier tome, même si cela au final n’a rien à voir avec la lecture, mais, deux ans plus tard, je continue à me demander pourquoi sur la couverture, en lieu et en place d’un labrador, nous avons la photographie d’un magnifique braque. Et rendons à César ce qui est à César cette nouvelle couverture est magnifique.
Après un enthousiasme sans limite sur la couverture de ce roman, qui n’est pas un labrador, mais bien un braque, venons en a nos moutons et parlons un peu de notre lecture.
Et comme je l’avais déjà fait remarquer sur ma chronique Thomas Drimm Tome 2, Didier van Cauwelaert semble être assez irrégulier lorsqu’il offre à ces lecteurs un deuxième tome. Mais bien que mitigé sur ma présente lecture, il est évident que j’ai passé un très bon moment de lecture en compagnie de Zibal, Alice, Jules et les autres.
Vont-ils réussir a sauver Jules ? Je ne vous le dirais pas ici, car il faut bien garder le suspens du roman, mais vous découvrirez dans ce nouveau tome, de nouveaux personnages dont une fiancée pour Jules…
À lire, car lire du Didier van Cauwelaert, c’est un moment assuré de bonheur livresque. Un romancier, qui vous emmènera avec lui grâce à sa plume et son imagination.
Créée
le 23 mai 2017
Critique lue 284 fois
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