La littérature pessimiste est définitivement un filon riche, foisonnant et une veine enthousiasmante dans laquelle je me retrouve complètement. Là, nous y sommes jusqu’au cou, alors que l’humanité court une fois de plus à sa perte. Ce roman voit donc des Hommes engagés dans une impasse et l’auteur, après les y avoir subtilement menés, se fait un malin plaisir à imaginer des solutions définitives, aussi improbables que radicales, pour se débarrasser d’eux.
Oui, Les Hommes frénétiques est bel et bien un livre pessimiste, fataliste et résigné. Il met en scène une ère universelle, post-apocalyptique. La société s’est organisée après la chute de la civilisation précédente mais il semblerait que certaines erreurs du passé tendent à se répéter. Les conséquences seront-elles les mêmes ?
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