Avec Nicolas Rey, il est souvent question d’amour, de cœur brisé et ce nouveau roman « les délices de 36 » n’échappe pas à la règle.
1936, les premiers congés payés pour les prolétaires, ouvriers, qui découvrent enfin ce que sont les vacances à la mer. Ce qui n’est pas pour plaire à la classe aisée qui n’aime pas se mélanger a la plèbe.
Mais les amours d’été non pas de classe sociale et c’est ainsi que Marius, prolétaire de son état, rencontre Emma, jeune fille de la haute, ils vont découvrir ensemble les joies de l’amour et de l’inconscience.
Mais que se soit en 1936 ou en 2016 les amours d’été finissant toujours de la même manière…
Marius écrit des lettres d’amour enflammées à Emma pour lui crier son amour et son désœuvrement pour ne pas être a ses côtés. Écrire des lettres et attendre la prochaine venue du facteur, chose qu’aujourd’hui les moins de 20 ans pour ne pas dire 30, ne peuvent pas connaître à l’heure du mail et des SMS.
J’aime lire du Nicolas Rey, car il nous parle toujours d’Amour, mais cet amour mélancolique, difficile…
Alors oui, bien que ce roman soit assez court, je ne peux faire autrement que de vous inviter à le lire.
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