Les vies sauvées d'Alexander Vielski par Penpen
Ce roman est assez compliqué à lire pour les raisons suivantes :
1) On ne sait pas où nous emmène l'auteur. En fait, je ne sais pas quelle est le but de l'histoire, ni ce qu'elle a raconté, ni quoi que ce soit. On a une histoire d'amour et une description de l'époque soviétique post-guerre mondiale. Les deux se côtoient et elles passent à tour de rôle au second plan.
2) L'auteur ne s'attarde franchement pas sur les détails. La scène d'amour, dans le cimetière, est résumée en trois-quatre phrases clichées, puis le narrateur parsème ici et là quelques évocations maladroites. Pour ce qui est de l'évocation des horreurs, cela aussi reste superficiel. Enfin, je veux dire, quelqu'un qui s'y connaît n'aurait rien appris de plus avec ce livre.
3) Alexander Vielski, c'est du pipeau. Ce mec n'a jamais existé. En revanche, son nom fait référence à Alexander BIELSKI, qui lui est un vrai héros de guerre, car ayant sauvé 1600 Juifs, etc, Wikipédia est là pour vous.
4) Un style un peu bancal, des métaphores qui n'ont pas de sens.
Conclusion : Pour M. Langlade, un livre, c'est du papier et des caractères noirs . Point.