Critique de Marina A. par angelina_lol
Un livre sur le Covid que j’avais pas envie de lire en fait
Par
le 8 avr. 2023
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Un chirurgien et une professeur de philosophie partent avec leurs filles en vacances à Florence et sont surpris d'être envahis par la présence d'une artiste inconnue d'eux jusque là, Marina Abramovic, performeuse et spécialise serbe du Body Art. Son oeuvre intrigue par sa puissance, sa soif de liberté, alors qu'elle vient d'un pays où cette notion reste compliquée et soumise à remous.
Son oeuvre crée une persistance mémorielle dont il devient difficile de s'extraire, et c'est de cet étonnant travail dont il est question dans ce roman réaliste et métaphysiques ce qui n'a rien d'incompatible. Impose la question de la place de la vie dans les vies personnelles, des besoins qu'il crée, d'un éventuelle dépendance, de son caractère plus ou moins vivant et improvisé, puisqu'il est question de Body Art.
Ce livre est court mais fait utilement réfléchir.
Créée
le 10 janv. 2025
Critique lue 1 fois
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