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Livre de Edgar Hilsenrath · 1964 (France)

Genre : Roman

Traducteurs :

Jörg Stickan, Sacha Zilberfarb
Toutes les informations

1941. C'est la nuit permanente sur le ghetto de Prokov. Au fil des jours, égaré dans un décor apocalyptique, Ranek lutte pour sa survie. Réduits à des ombres, comme s'ils n'avaient plus ni âme ni corps, les personnages baignent dans le brouillard. pourtant, les scènes d'amour hâtives, de solidarité ou de naissances au milieu du ghetto montrent que, même plongée dans l'horreur, l'humanité s'accroche. Grande fresque de la cruauté et du grotesque, "Nuit" est le point de départ de l'oeuvre... Voir plus

bilouaustria
8

Critique positive la plus appréciée

La nuit nous appartient

La vie, la mort : les beaux romans sont souvent les plus simples. Raconter la survie dans le ghetto de Prokov pendant la guerre, c'est écrire l'humanité nue, le froid, la crasse, la faucheuse qui...

le 4 mars 2012

23 j'aime

Maelle23
3

Critique négative la plus appréciée

Troublant, détestable, et passionnant

J'ai lu ce livre à la suite d'un conseiller fnac. Je savais le sujet dur et froid mais je n'ai jamais été autant bouleversé (de la mauvaise manière) par un livre. Ma note si basse c'est uniquement...

le 16 août 2014

2 j'aime

Coriolano
8

Un roman habité par des ombres

Les livres de Edgar Hilsenrath se suivent mais ne se ressemblent pas. J'ai commencé avec "Fuck America", roman proche de John Fante, j'ai poursuivi avec "Le nazi et la barbier" roman burlesque sur un...

le 18 sept. 2012

4 j'aime

1

SuperLibraire
7

Critique de Nuit par Anthony Boyer

Nuit n'est probablement pas le livre le plus connu d'Edgar Hilsenrath, il n'en demeure pas moins son premier roman, écrit au sortir de la seconde Guerre Mondiale. Ce livre a connu une histoire assez...

le 10 févr. 2012

4 j'aime

1

pikkendorff
10

Ici, Edgar Hilsenrath m’écrit un poème à la nuit, à la mort sans espoir...

Comme dans un cauchemar éveillé, la plume cruelle du survivant Edgar Hilsenrath s’agite, court, créant un conte hyperréaliste et détaché, dur et burlesque, noir et satirique. De ces cinq cents pages...

le 28 déc. 2012

2 j'aime

1

matthiasvivet
10

Critique de Nuit par Matthias Vivet

Je termine à l'instant cet immense roman. Et je suis très ému, touché. Une telle expérience (le mot n'est pas trop fort, pour une fois) de lecture est difficile à retranscrire. Un ghetto, quelque...

le 27 juil. 2012

2 j'aime

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