Lauréat du prix Cezam en 2008 (pour en savoir plus), Pierre Bordage s'est déplacé pour rencontrer ses lecteurs là où je travaille.
Manque de bol, je suis arrivée en 2010, j'ai ainsi loupé cette occasion de pouvoir le rencontrer. Cette situation s'est corrigée quelques années plus tard (3615 MAVIE).
J'ai eu le malheur de lire une critique négative sur ce titre, cinq minutes avant de rédiger mon avis, j'en suis toute perturbée.
Mais ce n'est pas grave, aucun risque de me faire influencer par un pédant antipathique.
Bordage n'est certes pas une grande plume, au sens littéraire du terme, mais il est un fabuleux conteur, qui prend "soin" de ces personnages.
Si vous lisez mes autres critiques, il y a des éléments récurrents comme l'empathie que je peux avoir les personnages.
Le talent d'un auteur, c'est d'avoir envie d'aller plus loin dans l'histoire des personnages, d'avancer dans l'intrigue. Si ce phénomène d'empathie arrive, banco.
Le thème de l'intrigue est un poncif du genre mais j'ai aimé ce côté hybride thriller et anticipation, un bon moment de divertissement.