J’ai découvert Antoine Choplin en 2003 avec son premier roman Radeau. J’y suis revenu quelques années plus tard en 2009 avec Apnées et c’est là ma troisième incursion dans son œuvre. Constant, j’ai plus ou moins tiré la même conclusion en achevant la lecture de chacun de ces trois livres : c’est bien mais ça ne me touche pas vraiment. C’est toutefois suffisamment bons pour que j’y revienne.
Dans le dernier en date, l’homme du titre, garde-barrière en Tchécoslovaquie, va voir sa vie bouleversée par sa rencontre avec Václav Havel, dramaturge et futur président de la République. Le roman le suit durant les jours qui changeront son existence.
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