Venez comme vous êtes
Sa vie ne valant pas grand-chose, Rafael, qui écrit son nom « rael », négocie sa mort, pour trois cents dollars moins les frais, auprès d’un « producteur » de snuff movies. Comme...
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le 2 juil. 2015
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A l'entame du 3e chapitre, et malgré l'avertissement de l'auteur, j'ai eu peur. Peur que ce livre tourne au glauque sanglant, gratuitement violent. Et puis non, ce chapitre est en effet d'une rare violence mais Gregory Mc Donald redonne un cours "normal" à son histoire, celle d'un pauvre gars, Rafaël, alcoolique et illettré prêt à vendre sa vie pour sauver celle des siens, les mettre à l'abri.
Le reste du livre décrit une Amérique égoïste qui fait semblant de ne pas voir ses pauvres, qui les rejette. Mais entre eux, ils sont solidaires, presque tous. Et tentent de survivre. Rafaël vit paisiblement ses derniers jours sans jamais rien dire de son funeste destin qu'il s'est choisi, sans jamais se plaindre.
Juste une critique moins positive. Le total abandon dans lequel se trouvent les habitants de la ville fantôme est, me semble-t-il exagéré. Même aux USA, il doit bien y avoir des systèmes de protection pour éviter de sombrer si bas. La crédibilité du récit s'en trouve (légèrement) entamée à mon sens.
Créée
le 4 nov. 2015
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