Dans un premier temps, je tiens remercier roman, qui encore une fois m’a permis de découvrir son roman bien avant sa sortie.
Tellement avant que j’ai pu découvrir avec une certaine curiosité, la manière de travailler de Romain Puértolas. Des milliers d’SMS avec des titres possibles et également des couvertures du roman, les unes plus différentes que les autres, pour s’approcher petit à petit au résultat final, que nous avons le bonheur d’avoir aujourd’hui entre les mains.
Avec ce nouveau roman, Romain Puértolas se lance dans le roman Poilar, qui est une sorte de Polar Poilant, un véritable “page-turner”de l’humour, une page, un sourire, un juste mélange de bons mots et dérision.
Romain Puértolas, nous entraîne à New York dans le Colorado, petit ville où l’internet ne passe pas, vous ne pouvez même pas regarder votre Facebook… Quelle horreur !
Pour palier à cette tragédie Agatha Crispies ouvre un club de lecture au commissariat de New York Colorado où les membres sont plus là par obligation que par envie, ou bien encore par manque d’activité dans ce petit village sans, mais vraiment sans problème.
Agatha Crispies, notre héros, si l’on peut l’appeler comme ça, mutée de New York à New York pour des raisons disciplinaire, n’est pas le prototype même du lieutenant de police qu’on imagine dans un polar, mais comme nous sommes dans un poilar, elle est parfaite dans son rôle.
Comme nous le commentions auparavant, New York dans le Colorado est à des années lumière de New York la vraie. Il ne s’y passe rien, mise à part de temps en temps la disparition d’un chat. Mais le jour où enfin un meurtre à lieu dans le village d’a côté enfin l’aventure commence pour notre héroïne et peut être bien la possibilité de pouvoir retourner à New York New York si le cas est résolue.
Le dernier roman de Romain Puértolas est certes un poilar, un roman qui vous fera sourire et bien souvent rire aux éclats, mais c’est avant tout une ode à la littérature, avec des centaines de références a de grand auteurs de la littérature d’hier et d’aujourd’hui tel qu'Agatha Christie, Stephen King, Gaston Leroux, Alexandre Dumas, Hemingway ou bien encore Edgar Allan Poe.
Tout un été sans Facebook, m’a fait l’effet d’un fondant au chocolat: un roman déjanté avec à l’intérieur une ode à la littérature.
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