Critique de À genoux par maiti
Connelly sort au moins un bouquin par an et ça commence à se voir. C'est cousu de fil blanc, vraiment.
Par
le 18 avr. 2011
1 j'aime
Bon, c'est une histoire de testicules grosso modo. C'est des types ils se parlent à coup de testicules tout le bouquin, bam un coup dans ta figure, bim je m'en reprend un. Même la fille tu sens qu'elle en a une paire cachée quelque part qui lui bousillent ses hormones. Un truc hormonal de folie qui explore tous les clichés possibles liés à la police, au terrorisme et aux ex-couples.
Et pis le mec qui trouve le coupable à la fin bin c'est lui qui avait les plus grosses...
Bref, je donne quand même le bénéfice du doute à Michael Connelly:
1- Je soupconne la traduction d'être d'une piètre qualité
2-J'ai eu le malheur de me casser les deux bras au ski (oui c'est con) et j'ai donc été forcée à la version audio qui est affreuse!! Bon après avec mes deux bras j'aurais probablement jamais lu ce truc donc ça a ouvert mes horizons
3- C'est vrai que commencer Michael Connelly avec son énième bouquin clairement un peu à bout de souffle ce n'est pas lui faire justice.
Bref, j'en relirais un autre un jour pour voir si c'est mieux... je vais aller me reposer avec Céline tiens en attendant.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes 2016 et Mes livres lus avec les oreilles
Créée
le 7 mars 2016
Critique lue 459 fois
3 j'aime
3 commentaires
D'autres avis sur À genoux
Connelly sort au moins un bouquin par an et ça commence à se voir. C'est cousu de fil blanc, vraiment.
Par
le 18 avr. 2011
1 j'aime
Ce livre suit celui d'Echo Park. Donc à choisir lisez les dans le bon sens même si ce n'en est pas la suite. Bref faites comme voul-voul ! sinon RAS, toujours un bon polar de Connely. On retrouve...
le 8 sept. 2019
Un Connelly certes mineur, (mais qui aura une certaine importance dans les derniers tomes d'Harry Bosch) le roman est surtout est une excuse pour remettre Bosch et Walling sur une affaire au sein...
Par
le 25 déc. 2023
Du même critique
Incroyable roman, coupable du second prix Goncourt de Romain Gary qui reste le seul auteur à en avoir jamais reçu deux (c'est interdit normalement). Tout ça grâce à un pseudonyme, Emile Ajar, dont...
Par
le 13 sept. 2015
16 j'aime
11
Mon premier essai politique, c'est vraiment pas mon genre d'habitude j'ai ce genre de truc en horreur. Moi j'ai besoin d'une histoire pour lire. Mais bon, je me disais qu'il faudrait bien que...
Par
le 7 mars 2016
15 j'aime
2
Deuxième roman de Soljenitsyne après Une journée d'Ivan Denissovitch. Publié quand Solji écrivait déjà en cachette ce qui allait devenir l'Archipel du Goulag sur des feuilles minuscules enterrées à...
Par
le 7 févr. 2016
10 j'aime
1