Je suis obligée de commenter parce que c'est l'unique livre que je n'ai pas réussi à finir. J'en ai lu des tonnes depuis que je sais lire, j'aime tellement les romans. Je l'ai acheté parce que bien sûr tout le monde en parle à la radio, sur Internet, à la télévision... Cependant, j'ai été très frustrée et déçue de la lecture de ce phénomène que je ne comprends pas. Je me suis forcée à lire des pages et des pages qui étaient d'un ennui mortel! C'était des descriptions à n'en plus finir et aucune action, aucun intérêt. Certes, c'est bien écrit mais expliquez moi pourquoi ce livre suscite autant d'admiration? Suis je trop jeune pour l'apprécier? Je repousse à quelques années la lecture de ce livre culte et on verra si je le trouve toujours affreusement barbant.
Créée
le 21 nov. 2017
Critique lue 4.8K fois
4 j'aime
4 commentaires
D'autres avis sur À la recherche du temps perdu
Bon, il faut arrêter une fois pour toute cette grande hypocrisie "proustienne". Rares sont les personnes qui ont lu et relu La Recherche dans son intégralité. Ça prend du temps, une lecture n'est...
le 22 oct. 2014
52 j'aime
3
c un mec qui bouffe une madelaine svp
le 11 avr. 2017
25 j'aime
3
Celui qui s’engage dans la lecture d‘À la recherche du temps perdu sait qu’il devra y allouer, au minimum, quelques mois. Et il est possible que dès les premières pages, les premières phrases, le...
Par
le 2 déc. 2021
19 j'aime
2
Du même critique
J'ai dévoré chacun de ses livres. Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'en défendre. Et puis... Et puis je l'ai perdu...
Par
le 21 nov. 2017
1 j'aime
Tout le film, on attends qu'il parle, lui qui est censé être un auteur de dialogues pour ses pièces et il reste muet ! C'est très bien joué c'est sur avec un casting pareil. La recherche d'émotions...
Par
le 16 nov. 2020
Tant bien que mal, avant j'aimais la vie, parce qu'on l'avait en commun. Avant, j'aimais la vie, même sachant tout ce que je savais, car dans l'immensité du vide il était là qui souriait...
Par
le 22 nov. 2017
