Faulkner m'a tuer (tel le homard.)
J'aime Faulkner c'est comme ça. Même quand il écrit des trucs franchement pas doubidou comme absalon absalon! Mais bon si je lui mets une bonne note, cette critique n'aura ni queue ni tête. Quoique, ça pourrait être intéressant.
Il nous avait déjà fait le coup avec le Bruit Et La Fureur: "hey les cheums je suis tellement un moderniste que même moi je comprend rien à ce que j'écris!" Sauf que The Sound & The Fury on l'aime bien (ouè t'as vu je suis en fac d'anglais \o/.) Je développerai le pourquoi j'aime Le Bruit et La Fureur d'un amour fou, une autre fois. Absalon, Absalon! C'est comme la deuxième saison d'une saga de l'été sur TF1. Oui, le beautiful south, vous étiez riche, et esclavagistes et c'était mieux comme ça. Déconne pas. En plus cette rengaine ci, on l'a déjà entendu.
Pour que le livre soit bien il faudrait le découper, et recoller les morceaux dans l'ordre pour qu'on comprenne l'histoire. Parce que autant chez Woolf on s'en tamponne y'a pas trop d'histoire. Mais Faulkner c'est un roué, il raconte l'histoire d'une famille, d'une ville, d'un état, d'une confédération. Mais il fout tout dans un shaker avant de nous le servir. Je peux pas la résumer, j'ai pas tout pigé. Et comme l'indique la liste, je l'ai pas fini de toute façon.
Du coup, en français ou en anglais il fait mal au crâne. Il toque aussi dans le vocabulaire, parce que William c'était un petit rigolo, il aimait bien les mots qui était déjà plus utilisés à l'époque de la guerre de sécession.
C'est bien d'être moderniste, mais faut s'arrêter quand soit même on comprend pas ce qu'on s'écrit.
Celui ci je finirai de le lire, un jour, quand je serai plus intelligente.
+ Mais mon édition est sympa sympa, y'a une carte de Jefferson dedans. Ouaip.