Le roucool aux oeufs d'or.
Cet anime a exactement la même fonction que la plupart des dessins animés américains des années 80 - 90 (du genre Tortues Ninja, Musclor etc...) faire vendre un produit. Je me souviens que j'avais acheté la version rouge (se reporter à ma critique de la version rouge pour savoir pourquoi je l'ai achetée plutôt que la bleue. #RAF) dès sa sortie en France, c'est à dire AVANT que l'anime ne débarque sur nos écrans de télé. A sa sortie le jeu n'a pas fait beaucoup de bruit en dehors du milieux: à moins de lire Console + ou Joypad, vous aviez peu de chance d'entendre parler de Pokémon. Alors histoire de booster des ventes qui avaient du mal à décoller en Europe, cracboom, un dessin animé de derrière les faggots.
C'est ni plus ni moins qu'une pub, et c'est réalisé en temps que tel. Des épisodes fait à la chaîne, du travail de cochon pour servir une histoire creuse suivant vaguement la trame du jeu vidéo. Enfin ça a été efficace, la pokémania a bien suivie. Alors comme pub, pas de souci je mets 10 mais comme série, vraiment. Ça rappelle la débandade DBZ (crée sous la pression des producteurs), intrigue à deux sous, répétitive: j'explose la team rocket, je vais dans une nouvelle arène, la champion est trop fort et me lamine, je vais m'entraîner vite fait, je reviens, je le pourri ce champion et la team rocket revient [pour me jouer un mauvais tour. \o/] Allez, on éteins la télé, on allume sa gameboy.
De toute façon c'est bien connu les jeux vidéos et les films ça ne fait pas bon ménage, que ce soit dans un sens (film en jeux vidéo, n'importe quel jeu du SDN ou de Star Wars) ou dans l'autre, Silent Hill ou Resident Evil en tête.