Ouvrage magnifique sur le fond.
Traiter du conflit israélo-palestinien est très risqué.
Le géni de l’auteur est de le faire à travers l’histoire vraie de deux pères ayant chacun perdu leur fille, et mêler leur histoire à un fond historique pédagogique.
Mais c’est long, très long… et malheureusement ennuyeusement répétitif.
Un apeirogon est une figure géométrique au nombre infini de côtés. J’ai pensé à une sphère.
Le livre, lui, fait 640 pages et 1002 mini-chapitres (de 1 ligne à 20 pages), les deux clés étant les deux 500, au centre et en haut de la pyramide.
Mon humble avis est que le livre aurait pu être plus percutant et plus facile à lire en évitant de reprendre trop de fois les mêmes faits autour de la mort des deux filles (je me suis lassé plusieurs fois, pour y revenir après quelques jours). Deux tiers, par exemple, feraient 426 pages…