Dans Arlequin poli par l'amour, il est enlevé par une fée tombée amoureuse de lui. Elle se désole tout d'abord de son manque d'esprit, de ses origines rustres, puis du fait qu'il préfère une femme de sa condition, une bergère. Aussi ruse-t-il pour arriver à ses fins, en faisant croire un temps qu'il répond à ses avances, pour lui subtiliser sa baguette et profiter de l'amour qu'il recherche.
L'amour est toujours contrarié dans ses formes instinctives, la ruse, le hasard et l'hypocrisie venant compliquer les choses.
Rien n'yest fondamentalement inoubliable, mais cette pièce reste agréable, présentent déjà le mérite de faire réfléchir sur la franchise et les difficulté de choisir en amour.