J'm'engage pas trop avec un cinq qui devient parfois un six, je suis surtout étonné de le trouver sur ce site, je savais même pas que c'était un vrai livre.

C'est édité n'importe comment, j'ai peu de souvenirs du style ou de l'histoire, probablement à cause de leur inexistence, je crois que j'en avais aimé une partie, moins la fin qui me revient vaguement. Ceci dit, je me souviens de ses yeux, de sa bouche, et de sa peau trop blanche, toute abîmée, de ses mains, du sourire qui n'arrivait presque jamais à ces lèvres, des dessins, des médicaments, c'était la première fois que je jouais avec de la peinture, il y avait de tendres et étranges moments et je me souviens aussi de la suite, de la fin, d'un matin vers cinq heures à fuir dans des rues encore noires.

Créée

le 25 mars 2011

Modifiée

le 26 août 2012

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J. Z. D.

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