La lumière et le néant, la gloire et l’autodestruction, les coteries et les égos, la fidélité et la répudiation, les fêtes et le lendemain, la folie créatrice et le business pur et dur, le superficiel, les paradis artificiels, un monde où tout le monde ment et se ment. Les muses font à la fois tant et rien.
Une bulle. Tout ce fric.
Un monde qui tremble alors que l’avènement des socialistes est inéluctable. Un monde dévasté par les années sida.
Deux personnalités opposées : l’une dans la démesure, le génie, les excès, la dépendance, l’autre ascète, asexuée, stratège, bourreau de travail, renvoyée à son complexe d’infériorité tant qu’YSL règne, hégémonique.
On n’est pas bon ou doué, on touche au divin ou on n’est rien.