Neuf élèves de l’Antilian School, école londonienne réservée aux natifs des Antilles quelle que soit leur nationalité gagnent un concours organisé par une riche propriétaire de l’île anglaise de La Barbade. Le prix étant un voyage à travers les Antilles qu’ils ont quitté depuis des années, avec une prime de 700 livres par élève et pour l’adulte les accompagnants. Mais au moment où ils doivent embarquer des pirates s’échappent et capturent le navire affrété pour eux. Faute de vent ils ne peuvent faire voile et sont obligés d’accueillir les élèves afin de ne pas attirer l’attention de la police anglaise d’autant plus qu’ils apprennent que ces jeunes peuvent leur rapporter beaucoup d’argent s’ils les conduisent aux Antilles. Malgré les risques l’équipage pirate est prêt d’arriver à ses fins mais un élément va les en empêcher.
Un récit classique de Jules Verne qui malgré ses poncifs habituels sur la jeunesse, le bien et le mal, l’harmonie des peuples se lit facilement, plus facilement que d’autres. Sans doute est-ce lié à l’aide dans l’écriture que lui apportait son fils. À plus forte raison deux ans avant sa mort alors qu’il était usé.