C'est ici que l'on se quitte par Adelyn
Dés le début, impossible de sortir de la peau de Judd, ni de se défaire de son humour grinçant et décapant.
Les situations mêlent sans cesse tragique et burlesque. Pour fond sonore : la mort (le dady), le handicap (Horry), le divorce (Jen), la rancoeur (Paul) et l'adultère (Jen, Philipp). Sur le devant de la scène : des bougies d'anniversaire de le c**, la vue panoramique sur les jambes décrépites des visiteurs de la Shiv'ah, les coquineries des enfants en plein apprentissage de la langue (la scène du T, celle du Q). En somme, un mélange osé, mais un pari réussi.
Dommage que passés les deux tiers du livre, on s'ennuie, on tourne un peu en rond.
Pas de surprise à la fin, mais l'auteur avait-il vraiment le choix ?