Deuxième partie du 19ème siècle, un matelot de 18 ans se retrouve abandonné par son équipage sur une plage sauvage du nord est de l'Australie. 18 ans plus tard, alors qu'il a vécu parmi les "sauvages", il est retrouvé et est ramené à la "civilisation" par un membre de la société française de géographie.
Entre Robinson, l'enfant sauvage et le mythe du bon sauvage, ce roman est agréable à lire. Les mots sont choisis sans être élitistes ni pédants. Le passage du monde civilisé est raconté tantôt à la première personne tantôt à la troisième alors que le passage inverse est réalisé par le truchement d'un échange épistolaire.