Après l’avoir vu passer partout sur les réseaux, j’ai décidé de passer le pas de ce roman UK, sans grandes espérances.
Et pourtant, dès les premières pages, j’ai su que j’allais aimer et dévorer ce livre, aux personnages complexes, tissant des relations fluides et destructrices, mais que l’on sent complices. Les détracteurs, tous tourmentés par des addictions malsaines, ou des blessures d’enfance, sont subtiles et ne laisse jamais indifférents, dans l’attachement ou au contraire, l’énervement.
Ce que j’aime, c’est que ce roman ne cherche pas à sauver tous ses personnages ; les addictions détruisent, et la resumption est semée d’embûches, mais est possible.
C’est finalement un roman d’espérance, dure - mais facile à dévorer.