Dès les premières pages, j'ai buté sur l'écriture, je n'arrivais pas à entrer dans les phrases. Ca accrochait. C'est parfois le cas avec certains ouvrages et ça m'empêche d'aller plus loin. De plus, j'ai trouvé que la façon d'aborder le thème était pesante. J'ai donc stoppé ma lecture, faisant ainsi usage du troisième droit des lecteurs de Pennac: Le droit de ne pas finir un livre.

Lililee
1
Écrit par

Créée

le 14 janv. 2017

Critique lue 131 fois

Lililee

Écrit par

Critique lue 131 fois

D'autres avis sur Comment tu parles de ton père

Comment tu parles de ton père
CharliePicart
7

Un exercice intéressant

Les critiques à la Rentrée ont parlé du "livre de la Rentrée" - je ne sais pas si j'irai jusque là mais l'exercice est intéressant. On n'a pas à faire à une biographie mais à une lettre, une...

le 29 oct. 2016

2 j'aime

Comment tu parles de ton père
François_CONSTANT
6

Critique de Comment tu parles de ton père par François CONSTANT

"Comment tu parles de ton père!" Rien que le titre est déjà une impertinence... Dans ce livre, Joann SFAR se donne les moyens de 'glorifier, sanctifier', le Nom de son père. Pour être correct, par...

le 27 nov. 2016

1 j'aime

Comment tu parles de ton père
zazy
8

umour, amour, digresions

================= Je n’ai pas encore lu le chat du Rabbin, ni les autres… C’est grave docteur ? Par contre, j’ai découvert Joann Sfar avec « L’éternel » qui m’a fait rire. J’ai aimé le style Sfar,...

Par

le 14 oct. 2016

1 j'aime

Du même critique

La Maison des hautes falaises
Lililee
7

Tempête dans les coeurs et sur la mer...

Je me suis lancée dans la lecture de ce roman sur les conseils d'une collègue qui me l'a vendu comme Le livre de l'été. Même si je ne sais pas si je lui attribuerais ce prix, je reconnais que j'ai...

le 18 nov. 2016

3 j'aime

Riquet à la houppe
Lililee
6

Lecture agréable mais oubliable

Une version contemporaine et très éloignée du conte original mais qui se laisse lire avec intérêt. Une lecture qui donne aussi à réfléchir sur l'importance de la beauté et la laideur dans notre...

le 20 nov. 2016

1 j'aime