« J’avais de la peine pour eux… Ce n’était pas comme s’ils étaient beaux ou intelligents, et les opinions étaient très variées quant au goût de leur viande. La seule recette que j’avais trouvée n’avait guère été d’une grande aide.
Tour d’abord, attrapez votre dodo. Faites-le ensuite mariner dans du jus de citron, ou autre liquide fortement acide, aussi longtemps que possible. Idéalement, toute une nuit. Fourrez-le de miettes de pain, d’oignons grossièrement hachés, de sauge, de romarin et de thym. Assaisonnez généreusement, déposez-le sur une grosse planche ou quelque chose de similaire, et faites cuire à foyer ouvert ou au barbecue jusqu’à ce que le jus soit clair. Séparez soigneusement la viande claire de la viande foncée. Jetez l’ensemble et mangez la planche. »
Livre deux, donc, où l’on retrouve notre Maxwell qui n’arrête pas une seconde. Jack l’éventreur (une théorie intéressante à son sujet d’ailleurs (intéressante dans le sens totalement énorme)), Marie Stuart ou les jardins de Ninive (entre autres), rien ne lui fait peur, et certainement pas les paradoxes temporels (pourquoi ai-je sans cesse envie d’écrire « temporaux » ?), au sujet desquels son cerveau mouline tout à fait correctement. Il y a des ennemis qu’on ne peut pas éliminer n’est-ce pas, parce que notre passé est leur futur, ou vice-versa, la dame s’y entend pour nous embrouiller. De l’action, des blessures, la Muse de l’Histoire qui favorise ou pas, des litres de thé toujours et un humour qui fait mouche avec moi. Je m’amuse vraiment bien avec Jodi Taylor et j’ai hâte de me plonger dans le livre suivant !