L’histoire commence en 1912, sur terre. C’est l’année où eu lieu un étrange phénomène que beaucoup ont nommés « le miracle ».
Imaginez ! La France, l’Angleterre et une grande partie de l’europe de l’est disparu soudainement pour être remplacés par un nouveau continent dont la faune et la flore sont inconnus : « Darwinia ».
L’histoire :
Au début des années 20, Guilford Law, un jeune photographe se joint à une expédition scientifique chargée d’explorer se nouveau continent, qui reste encore une terre inconnue, malgré une dizaine d’années de timides excursions.
Ce voyage entraînera Guilford et ses compagnons sur des terres inconnues et violentes, bien au-delà de notre temps et de notre espace (enfin pas si loin que ça mais loin quand même).
Voilà, ça c’est le début de ce roman qui s’étale sur plusieurs décennies. Il est écrit en partie comme un récit d’explorateur (un genre de journal de bord qui aurait été romancé) et j’ai pris vraiment un grand plaisir à la lecture de ce roman.
Mais l’ensemble reste inégal. Je trouve que Wilson passe assez vite sur des parties que j’aurais aimé voir développer afin de ne pas avoir de ruptures dans le récit.
Autre point que je trouve très négatif, il s’agit des interludes qui séparent les différentes parties du roman et surtout du premier où l’auteur nous révèle tout (mais alors absolument tout !).
« Darwinia » reste un très bon bouquin que je vous conseille sans problème. Le style de l’auteur m’a bien plu et je pense que je lirai d’autres romans de lui.