Extrêmement chiant et incroyablement prétentieux.
L'auteur nous prend pour des buses.
Il veut nous faire croire qu'il est aussi intelligent que son Oskar, alors qu'il n'est qu'un petit con excentrique.
"Regardez moi, je maîtrise tous les styles, j'en invente même des nouveaux !" Ouai, tu fais du remplissage. On passe tour à tour, d'un récit omniscient à des bribes de textes sans cohérence. Puis sortant de nulle part, une correspondance. Des images, par milliers, des pages blanches, des pages avec deux mots, des pages de chiffres, des pages de noir. Il remplit des pages artificiellement. Des répétitions de paragraphes entiers.
"Han, j'ai reçu une lettre de Stephen Awkward, je te raconte ce qu'il a répondu, puis je te la colle dans les chapitres, 5 fois, comme ça, pour remplir. Entre deux dialogues."
"Je fais des retours à la ligne.
Tous les trois mots.
Pour étaler ma créativité.
Ou plutôt.
Parce que je suis intelligent.
Enfin.
J'ai rien à dire."
Tu me casses les couilles Jonathan. J'ai lancé le livre à travers la pièce 25 fois, en hurlant FUCK THIS SHIT !
Je sens que tu maintiens une sorte de suspense moisi, pour le prestige final. Mais ton tour est trop long.
Il me reste 100 pages, je préviens : ça va chier.
Et l'histoire, qu'en dire, le néant, le rien, un mystère en carton. Alors oui, vous allez me répondre : c'est l'histoire d'un deuil. D'un traumatisme fondateur, machin. T'es insensible. Tu ne comprends rien. Rien à foutre, ça ne marche pas, oui je suis insensible, je n'ai aucune empathie pour les victimes. Va te faire foutre, Jon.