Souvent après avoir fini un roman d'Asimov, je m'amuse à regarder la première date de parution du roman.
1957 pour celui-ci, souvent je me rends compte que l'auteur possédait un don pour décoder le fonctionnement futur de ses contemporains, un peu comme Elijah Bailey, le héros de ce tome.
Vous l'aurez compris, je suis une fois de plus conquis par ce roman du cycle des robots qui analyse les deviances de l'humain à force d'usage de la technologie, et plus précisément, de la robotique.
Le roman en lui même reprend la structure classique qu'Asimov imprime à pas mal de ses oeuvres des différents cycles avec un héros qui fait des rencontres lui permettant de se forger une opinion sur un fait précis, dans le roman un meurtre, jusqu'à arriver à la fin du roman où l'on en prend plein le cerveau devant les déductions du héros.
Je m'en suis déjà plains car cette structure à le mérite d'être efficace mais rébarbative si l'on enchaîne plusieurs roman de l'auteur.
La sur les 300 pages ça passe plutôt bien.
Donc globalement, encore très satisfait de la plume de cher Isaac !