50 ans au fil de l'eau
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
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Le livre Fantômes et gens perspicaces de Florence Pazzottu s’inscrit dans la continuité de son précédent recueil J’aime le mot Homme et sa distance paru aux mêmes éditions Lanskine. C’est un recueil protéiforme, qui s’écrit pour établir des liens et se constitue par de multiples adresses. Mais l’adresse ici ne nie pas le poème, ni le jeu de l’écriture. Il me semble que Florence Pazzottu décrète ainsi que la poésie n’est pas un isolement, mais bel et bien un échange, une parole, que l’autrice s’amuse à distordre et à interroger.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2024/12/01/fantomes-et-gens-perspicaces-florence-pazzottu/
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Créée
le 1 déc. 2024
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