Harry Potter est indéniablement, la saga qui aura marquer toute une génération de lecteurs et de lectrices. Dont, je suppose que la génération des années 1990 (dont, je fais moi-même partie), éprouve un sentiment particulier à l'égard de cette univers. Puisque nous avons grandi et mûri en même temps que le trio d'or (Harry,Ron et Hermione). EH ce, que nous soyons Potterhead ou non ; la simple énonciation du nom Harry Potter, nous procure un sentiment d'allégresse jubilatoire.
Mais il serait égoïste de s'attarder uniquement, sur un échantillon de personnes qui on lut Harry Potter. Alors, quand réalité;l'univers qu'à créer J.K Rowling a donné goût de la lecture à des millions de personnes de tout âge. Pour donnée, un bref aperçu du phénomène mondial que connaît la vente des ouvrages de la saga Harry Potter s’élève, aux cours de l'effervescence de la Potter-mania, c'est-à-dire entre 1997 et 2010 s'élève à plus de 450 millions d’exemplaires vendue à travers le monde. Une prouesse dont, nous ne pouvons pas tarir d'éloge, quand on panse, qu'une grande partie de l'écriture du premier livre, c'est fait dans les cafés d’Édimbourg.
Imaginez-vous, être assis, au fond d'un café avec un calepin et stylo à la main, tout en sirotant sont breuvage chaud préférée (Personnellement, j'adore le thé à l'orange :p). Tout en étant bercé pars un fond sonore, mélangent conversation, de vas et viens des passant, ainsi que du bruit de la vaisselle, le tout, envelopper dans un somptueux mélange d'odeurs de thé et de café aromatiser, qui vous chatouilles les narines.
Quel pied, que cela à du être, d'imaginer les premiers pas, de ce merveilleux univers, qui a émerveillée et continue de faire rêver des millions de personne.
L'émerveillement que procure l’univers Harry Potter, est un magnifique tour de magie qui à combiner avec brio un monde magique à la fois moderne et traditionnel. Tout en y ajoutant, une pincé de fait légendaire.
Dont, nous pouvons prendre comme exemple, « l'épreuve » du passage du chien à trois têtes Touffu, dont nous pouvons voir, une allusion au mythe d'Orphée qui endormis cerbère, en jouent de la musique.
A travers les débuts de la saga, qu'à imaginer l'auteur. Nous pouvons imaginer, avec le recul, un monde diviser en deux, mais qui forme un tout. Qui ne sont pas forcement différent, juste deux facette qui ne peuvent vivre en harmonie. Puisque, en prenant en exemple « Les Noces Funèbres » de Tim Burton dont le récit, est découpé en deux faces distinctes, mais étroitement liées. Cars en effet, le monde des vivants, à l’ambiance mélancolique, aux couleurs ternes, est indissociables du monde des mort, qui est festif est très colorée. Bref, pour en revenir, à l'univers magique de madame Rowling, nous pouvons y trouver une certaine similitude avec l’œuvre de Burton à travers les faits suivants :
Le coté négatif :la famille Dursley (Les « Principaux ») moldus (personne ne possédant pas de pouvoir magique) de l'ouvre sont froid et distant à l'égard de leurs neveux Harry qu'il on adopter, lorsque ce dernier, n'était qu'un bébé. Cet aspect négatif, peut s’expliquer pars la peur de l'inconnue, et de se qui semble être irréaliste.
Le coté positif : le collège Poudlard, ou les jeunes sorciers et sorcières âgées de 11 à 17 ans font leurs études. Le lieu part excellence pour apprendre à concocter des potion, prendre soin des créatures magiques, ou faire léviter des objets grâce à un sortilège. Malgré, l'apparition d'innombrable repas pars enchantement, et le loisir, de converser avec des fantômes, le danger est toujours là, tapis dans l'ombre, attendant sont heure avant de frapper.
Ainsi, ce monde magique plus intense à l’opposition d'un monde moldu qui serait en noir et blanc. Eh ce malgré les multiples dangers, nous ne pouvons que rester émerveiller devant les débuts de cet univers magique, qui ne fait qu’entrebâiller ces portes à travers, les pages de ce premier tome.
P.S : A dévorer, sans modération ;)