Des personnages creux (comme le style), supports insensibles de toutes les thèses du philosophe Koenig.
Une narration efficace certes, mais dont l’économie ne parvient pas à rattraper le manque de proposition stylistique comme narrative, la natation reprenant des représentations bourgeoises mal dégrossies à la mauvaise sociologie de comptoirs. Et qu’on ne viennent pas me dire nieuh nieuh « licence poetique », G.K se rêve en Balzac, glissant grossièrement des détails prétendument « révélateurs » à chaque foutu paragraphe. Grossier.
Les structures sont mal décrite, les affects sont mal décrits. La connexion entre les deux ne pouvait être que branlante.
En définitive (et en dernière analyse), j’ai lu un mauvais roman et un mauvais bouquin de théorie politique.
Une belle couverture (+1)