L'actualité sur Il était minuit cinq à Bhopal
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livre de Javier Moro et Dominique Lapierre
Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.
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Je me souviens que les français prétendaient ne jamais entreposer plus de 60 litres, je crois. Encore un choix d'indépendance française, comme pour le pétrole! Comme pour l'uranium! Comme pour le mais! Comme pour le soja! Comme pour les médocs! Comme pour les tableaux de bord des voitures! COmme pour les fringues! Comme pour tous les machins informatiques et les gadgets en plastique! Je crois qu'on devrait pouvoir atteindre le zéro émission crabone la semaine prochaine.
Le 1 févr. 2024
;-DD pour une fois, non, je ne pensais pas que la religion était en jeu ici; j'étais juste surpris si je t'ai bien lu que personne ne fût puni ("Le directeur d'union carbide, Warren Anderson, disparut dans la nature" etc. )
Le 1 févr. 2024
En fait je ne vois pas trop comment on pourrait réduire nos émissions de carbone, vu qu'on ne fabrique rien et qu'en plus on tourne déjà au nucléaire. AH les guignols, il va falloir songer à éteindre quand vous quittez une pièce, voire à éteindre la télé quand vous ne la regardez pas (cf le témoignage des ?? assistantes sociales?? Je sais plus - qui racontent que dans 85% des baraques qu'elles visitent, au moins un écran est allumé que personne ne regarde)(j'avais remarqué que les gens que je c...
Le 3 févr. 2024
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“Nos amis hindous (végétariens) et musulmans (anti-alcooliques) boivent du bangla, ''alcool distillé à partir de boyaux d'animaux fermentés'' 8p”
Le 25 déc. 2023
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livre de Javier Moro et Dominique Lapierre
Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.
livre de Javier Moro et Dominique Lapierre
Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.
livre de Javier Moro et Dominique Lapierre
Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.
livre de Javier Moro et Dominique Lapierre
Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.
livre de Javier Moro et Dominique Lapierre
Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.
a attribué 7/10 au livre
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Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.
a attribué 8/10 au livre
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livre de Javier Moro et Dominique Lapierre
Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.
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Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde. Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes. Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge. Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat". Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident. Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe. Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de Bhopal.