critique des sciences

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https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-matins
17 février 2023
Sécheresse inédite cet hiver, après une année 2022 la plus chaude enregistrée en France. "Les modélisations prévoient soit de prochains jours frais et secs, soit doux et humides" - en somme les capacités prédictives à grande échelle des sciences sont nulles.
Ce qui nous conduit à considérer le "double standard" à l'oeuvre actuellement : les activités humaines provoquent VRAISEMBLABLEMENT un réchauffement climatique, et des décisions politiques sont apparemment prises en conséquence (bien que trop tard, et hypocrites).
Mais il existe des domaines dans lesquels la vraisemblance ne suffit pas à infléchir une décision...

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Lorsqu'il s'agit d'établir une relation causale entre des maladies et l'exposition à des poisons et toxiques n'ayant entraîné des effets létaux qu'au bout ou après de longues années, les sciences sont incapables d'aboutir â des certitudes. Comment attribuer un état de santé actuel à un seul facteur? D'autant que les cocktails chimiques ne sont pas encore pris en considération, et qu'il n'existe pour de nombreuses substances aucun seuil de tolérance! Pire : non seulement chaque individu réagit différemment, mais est exposé à une chimie toxique à n'importe quel degré de concentration!
Comment départager les poisons dans de telles circonstances ?

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https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-lundi-27-fevrier-2023-5093277
L'agence européenne du médicament doit pour considérer l'autorisation d'une molécule se passer des tests réalisés par les laboratoires privés.
Mais on part du principe de la bonne foi des articles scientifiques. Les plus sérieux sont d'ailleurs le résultat d'un long travail collaboratif entre différents labos. Pas grand chose à voir avec la chimie fourguée par le privé...

"D'après une étude parue en 2008, l'efficacité des antidépresseurs est passée de 94 % à seulement 51 %. Et selon une autre étude récente, l'efficacité des antidépresseurs ne serait que de 15 % si on prend en compte l'ensemble des études. Pour Marina Carrère d'Encausse : « On s'est rendu compte vers 2008 qu'on n'avait pas tenu compte de toutes les études. On ne collectait que les meilleures, et non celles qui montraient une inefficacité ou des effets secondaires. On a constaté que l'efficacité était beaucoup moins importante que ce qu'on pensait depuis 30 ans. "

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Une synthèse historique sur la production d'énergie nucléaire civile en métropole française, qui constitue un bon point de départ pour les néophytes comme moi, abordant chronologiquement de nombreux aspects du sujet , sous un angle
politico-technique (compétition entre le CEA et EDF, ''gestion'' de la contestation, incidents, accidents et étouffement des sources d'information,
propagande et ajustement de la ''communication'' et pseudo mesures post-tchernobyl, etc.).

(chapitre 8)
Les radiations nucléaires constituent un problème insoluble. Elles défient la démarche scientifique : si elles sont nocives à petite dose, il devient apparemment impossible de leur attribuer la cause des maladies. En 1984, un panel d'experts aboutit à la conclusion qu'il est impossible d'établir une relation de cause à effet entre la centrale de Sellafield et le nombre plus élevé de leucémies dans la zone. Et rebelote à la Hague au tournant du siècle. Mais cette logique tordue s'applique à la plupart des centaines de milliers de molécules de synthèse répandues dans la nature par l'industrie (il est où, le "principe de précaution"?) : comment attribuer la hausse des cancers, ou d'autres maladies, à un élément particulier au sein d'un cocktail dans lequel on baigne tous ? Vous voulez remettre en cause le modèle industriel productiviste ou quoi?
Et on peut pousser encore plus loin cette logique : si une potentielle infinité de substances industrielles sont cancérigènes elles aussi, n'oublions pas le plus d'un millier d'essais d'explosions nucléaires qui ont répandu des particules radioactives partout sur Terre! Et Tchernobyl et Fukushima ! Dédouanons les pollutions actuelles et futures en partant de l'impossibilité de distinguer leurs effets, des effets des pollutions passées !
"Dans les années 50 et 60, environ 17 000 tonnes de futs radioactifs ont été déposés dans la fosse du Casquet, dans la Manche" Vous ne voulez pas manger local? Vous préférez les sous-marins coulés et les pollutions radioactives emmenées vers la mer du nord par les rivières russes ?
(lire les notes sur City 40)
https://www.senscritique.com/liste/la_rayonnante_clique_du_nucleaire_atomique_et_vice_versa/3474232

D'une, la médecine, si compliquée soit-elle, n'en est qu' à ses tout débuts comme discipline scientifique. Ses méthodes pour démontrer l'inocuité ou le caractère curatif d'un traitement (d'une molécule, surtout) sont empiriques, souvent sans comprendre le mécanisme en jeu - ça marche, OK on pr

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Le DDT devenu illégal un peu partout, union carbide cherche un autre poison. P63 ''dans ses usines de Kanhawa Valley, carbide produisait 200 matières chimiques dont beaucoup étaient connues pour leur aptitude à provoquer des cancers'' p64 ''les habitants des quartiers situés sur le passage des vents provenant des usines de south charleston et d'Institute présentaient deux fois plus de tumeurs cancéreuses que le reste de la population des États-Unis''
''On combinait l'isocyanate de méthyle avec de l'alpha naphtol, ce qui produisait le Sevin.'' P65 ''des toxicologues allemands avaient osé aller plus loin en soumettant des cobayes humains volontaires à d'infimes dosés de MIC. Bien que réprouvées par la communauté scientifique, ces expériences avaient permis de déterminer des seuils de tolérance à une exposition au MIC, ainsi qu'on l'avait fait pour établir les seuils de tolérance aux radiations nucléaires. ''

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https://www.senscritique.com/livre/les_marchands_de_doute/critique/208041603

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Feuilleté en librairie, prometteur. Bon, surtout parce que je suis tombé sur les passages se référant à clement rosset et le courant de pensée (qui ça, ''oeil-de-guerre''?) qui considère que le monde ne se donne complètement qu'en tant que tel, lui-même, (donc par l'expérience directe), qu'aucune théorie ne restituera. Poussé jusqu'à l'absurde c'est la condamnation du langage et du savoir des sciences ( ''les'' , ''la'' , réification dans les deux cas, de la connaissance ), et en ce qui nous concerne ici, invalidation foncière de la démarche qui voudrait reproduire l'intelligence humaine dans un autre support matériel, alors que la pensée humaine est indissociable du cerveau, de cet organe et du corps entier dans lequel il vit, créés au cours de l'histoire entière de l'univers - un élément indissociable de cet univers, et remplaçable par aucun autre - bon sang ça en fait écrire des conneries évidentes la philo. Hé, c'est pas évident de comprendre que dernière la démarche scientifique, il y a l'hypothèse lancée par un grec il y a quelques siècles, selon laquelle le logos organise le monde. Quoi, sans ça, pas de ''lois '' scientifiques, juste le bon vouloir arbitraire des dieux? Par Crom !

Alors ni les robots, ni l'IA, sauf à remplir la fonction particulière de leurre, n'ont vocation à imiter l'humain - sauf à accomplir mieux ou différemment certaines tâches. La reconnaissance de maladies, les diagnostics, préconisations et ''schedules '' de prise de traitements, etc.

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"nos machines numériques modernes (...) sont incapables d'être aléatoires"
- alors mon ordinateur est programmé pour déconner ? C'est du joli!
Et la panne aussi était au programme?
Petit rappel : les machines se composent de matière, imparfaite, et qui se "dégrade" avec le temps en plus de ça ! Tout coule...

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https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/france-culture-va-plus-loin-l-invite-e-des-matins/exploration-sous-marine-l-oxygene-noir-eclaire-les-abysses-9739320

C'est un euphémisme de dire que la science "dérange" ce qu'elle étudie : elle le détruit. Ses méthodes (archéologie, dissection, dissolution pour séparer les éléments...), le processus industriel auquel elle participe ...

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"Dans le monde véritablement renversé, le vrai est un moment du faux" a écrit Debord. Les pétroliers ont financé maintes recherches ayant démontré depuis plus de cinquante ans le réchauffement climatique qu'ils causaient. Ils ont donc adopté un double discours, adapté à leurs intelocuteurs, et créé de nombreux lobbies, prétendus cabinets d'études visant à orienter les politiques internationales vers l'inaction.
Les plus virulents dénonciateurs de la situation sont aussi les plus impliqués dans sa fabrication. Leur duplicité s'est répandue partout. Elle reflète la folie foncière du système qui crée déni et double pensée, puisqu'incapable de se remettre en question. Et le bon peuple est trop content d'être maintenu dans l'illusion que, décidément, ce monde-ci est le meilleur possible, et ses valeurs sont vraiment les bonnes.

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L'industrie fabrique exclusivement des polluants. 70 millions de molécules de synthèse ?
La totalité de la "surface" de la Terre, partout, à la plus vaste et à la plus petite échelle, est transformée.
Dès lors, le "principe de précaution" n'est que d ela poudre aux yeux (déjà formulé de manière si aberrante semble-t-il).
Et il est impossible de dire comment ça pourrait être sans cette contamination généralisée : il ne peut y avoir de "population témoin", de gens non contaminés avec lesquels comparer les contaminés ; "la" "science" se disqualifie elle-même, elle est incapable de déterminer les effets de ses causes. De la même manière que les effets des radiations n'ont pas de seuil minimal, rendant impossible de leur attribuer les maladies sur lesquelles elles auront, dans tel et tel et tel cas indifférenciable, joué un rôle.
Le monde quantique des sciences fondamentales, a créé les malades "stochastiques". Il est impossible de déterminer des causes à l'échelle individuelle, la science peut seulement évaluer les effets des radiations sur une population - l'individu est devenu une particule élémentaire.

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https://www.stephanemigneault.com/blog/perturbateurs-endocriniens-livre-resume

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Miser sur une épistémologie hors sol , étant donné comme le françois s'enferre dans ses contradictions en 1981 sur le plateau d'apostrophes quand on tente de lui expliquer que les chercheurs ne sont pas ceux qui décident ou non d'être les maîtres du monde - il "s'en" défend, ce qui présuppose qu'il en a la possibilité, ce en quoi il présuppose bcp de choses qui ne se vérifient pas forcément - certes, les ingénieurs des mines ont une forte influence sur les décideurs politiques inaptes et cinultes en matières scientfiques et qui s'en remettent à leurs "conseils"... Mais en dehors d eleur mandarinat précaire dépendant de décisions politiques, les les sacahtns ont-ils le moindre pouvoir qu'ils choisiraient d'exercer ou non? Point aveugle pour notre jacob...

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J'apprends en me renseignant sur l'epidemiologiste Anthony Fauci que les patients malades du sida dans les années 80 ont refusé la méthodologie en double aveugle -c.a.d. les placebos. Ils faisaient tester les médicaments qu'on leur prescrivait.

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https://www.senscritique.com/livre/le_capitalisme_cannibale/critique/307700264

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https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC11282481/
Son épouse Dorrine souffrait des décennies après l'injection, des douleurs provoquées par des dépôts de lipiodol (utilisé en imagerie médicale pendant des décennies avant la découverte de ses effets secondaires RARES et son abandon, ou la modification de sa formule, au début des années 80) contre son cerveau et ses nerfs.

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"Lorsque ces mêmes personnes sont interrogées sur leur propre conduite en matière de recherche, 14 % des enquêtés au CNRS et 15 % à l’Inserm déclarent ne pas tenir compte de certaines observations ou de résultats jugés intuitivement non pertinents, 11 % dans chacun des instituts indiquent modifier la méthodologie ou l’orientation d’un projet de recherche pour répondre aux pressions d’un financeur, 6 % n’explicitent pas les détails de méthodologie et protocole dans des publications ou des projets, 2 % des sondés au CNRS et 6,5 % des sondés à l’Inserm évitent de présenter des données qui pourraient contredire leurs hypothèses. Enfin, 9 % des sondés à ­l’Inserm indiquent embellir les résultats d’un projet afin de mieux convaincre un évaluateur de l’importance d’une contribution. Lorsque ces mêmes personnes sont ensuite interrogées sur leur perception de leurs confrères et consœurs scientifiques, les résultats sont édifiants : 47 % du personnel sondé de l’Inserm déclare ainsi penser que leurs pairs embellissent les résultats d’un projet afin de mieux convaincre un évaluateur de l’importance d’une contribution, 45 % de l’Inserm (28,5 % du CNRS) qu’ils évitent régulièrement de présenter des données qui pourraient contredire leurs hypothèses, 35 % de l’Inserm (23 % du CNRS) qu’ils modifient la méthodologie ou l’orientation d’un projet de recherche pour répondre aux pressions d’un financeur, 30 % de l’Inserm qu’ils sont capables d’utiliser à dessein une technique statistique discutable ou peu rigoureuse pour valider la signification d’un résultat de recherche.

Comment avoir confiance dans la science et ses chercheurs lorsque certains scientifiques eux-mêmes n’ont pas confiance en leurs pairs et que certains avouent ne pas être totalement irréprochables ?

L’intégrité scientifique

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ce livre évite soigneusement d'irriter le pouvoir, comme d'aborder le sujet du covid... :D
lui préférer ma critique ou cet autre livre

https://www.senscritique.com/livre/contagion_sociale/55757890
https://www.senscritique.com/livre/wuhan_ville_close/critique/314509145

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https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/les-mercuriens-1278636

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https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/les-mercuriens-1278636
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-vendredi-21-novembre-2025-1164779
"la médecine française n'est pas formée à la médecine environnementale ou aux pollutions à faibles doses, elle ne sait pas les diagnostiquer. Elle fait des prises de sang alors que c'est indétectable dans le sang, les doses sont trop faibles. Il faut aller chercher dans le foie, le rein, les organes filtrants, la masse de métaux."
"Il y a eu un procès de santé publique en allemagne en 1994 qui a fait interdire ces plombages, et ils sont toujours posés en france."

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https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-vendredi-21-novembre-2025-1164779
Omerta médicale sur l'empoisonnement aux amalgames dentaires de métaux lourds (composés à moitié de mercure, puis de cuivre, etc.) - EN FRANCE.
Des comités d'experts français n'ont cité aucune des centaines d'études étrangères, aucun article du Lancet, etc. Ledit amalgame est interdit depuis des décennies dans les "pays avancés", ou à défaut n'est plus remboursé par les aides d'état.
En france, les soins étant accessibles à tous, il suffit de ne pas reconnaître l'existence des maladies et tout va bien. Sinon vous êtes fada et on vous envoie vers la psy (je préfère LA psy vu que les psys composent un tiers des agressions sexuelles par des médecins)