Après plusieurs mois à être passée à côté dans les librairies en le jugeant de mon air accusateur: “C’est encore un truc pour vendre: une féministe qui se la joue Indiana Jones”
Deux mois après ma tentative solitaire du GR54 et trois jours seule, passée seule avec moi-même à marcher et à dormir dehors, j’ai changé.
A travers une chronologie que l’on peine parfois à comprendre, le message de transmission demeure cependant bien réel.
On retrouve le désir de dépassement de soi mais aussi d’écoute de ses besoins primaires où se mêle une dimension écologique très présente.
Je le termine un peu déçue. Peut-être parce que l’auteure n’a pas mis de mots sur ce que j’avais vécu. Même si je n’avais pas les mêmes conditions extrêmes.
Je n’en sais rien. Est-ce une incitation à écrire mon histoire ?