Dans le prologue, on nous présente 4 jeunes filles disant le mot, je t'aime de chaque façon différente, je n'ai vu aucun rapport entre le prologue et le livre, mais passons ... Nous découvrons : Maude, Solange, Nicole et Alice.
L'histoire Maude belle mère d'Alice découvre celle-ci entre un de fumer un joint, au lieu d'en parler à son père elle n'en fera rien ainsi elles seront liés par ce petit secret. Certes, Maude n'a pas parlé à son mari, mais pas sure que même en parlant cela aurait changé grand chose tout est hypothétique ... Aurait-elle vraiment arrêté de consommer du cannabis pour autant ? Aurait-il pu la faire arrêter par une manière quelconque ? Ce n'est parfois pas si simple ... Et vu ces solutions pour aider sa fille au final ...
Solange mère de Bruno qui est le petit ami d'Alice, genre de belle-mère qui se fit aux apparences, genre de mère qui fera tout pour essayer de sauver l'honneur de son fils sans ce dire qu'après tout que personne ne l'a poussé à fumer ce joint, ces joints ...
Nicole mère Thibaut 7 ans, seule personnage qui aura grâce à mes yeux subissant simplement les affres du destin.
Le début démarre très vite, l'histoire ce lit à une vitesse fulgurante malgré quelques longueurs , ce livre nous fait réfléchir sur les dégâts des cachotteries , des mensonges , de conduire sous substance illicite , de l'amour, de la haine ... J'ai préféré ce livre au précèdent beaucoup de jolies phrases, mais à part Nicole les autres personnages m'agaçaient, j'avais misé sur quelqu'un d'autres pour le "coupable " donc surprise et je m'attendais à une fin plus vengeresse ...!
Mais la question vraiment pertinente est pour l'amour d'un enfant même s'il semble coupable de quoi serions nous capable ? Suite à la perte tragique dut à un accident causé par une tierce personne après la tristesse que reste t'il le pardon, la justice, la vengeance à laquelle se raccrocher ? Aurions-nous fait l'un des choix que fera chacun des protagonistes de cette histoire ?
Chacun est responsable de ses relations
La force d'une haine est souvent à la mesure de l'amour qui nous anime
Si le souvenir est douloureux, il demeure le lien ultime avec celui qui nous manque