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Fulgurances
La liberté ne se marchande pas elle se prend. Charles Bukowski incarne cet adage à travers ses personnages…à travers son personnage. Pour commencer s’affranchir des codes qu’ils soient moraux (se...
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le 13 avr. 2020
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Bukowski je t'aime
Bukowski, c'est l'ingéniosité incarné. On commence par lire la première page, et on ne peut que céder à la tentation de continuer à finir le livre en savourant toutes les pages. Grossier, sale et malsain, c'est comme ca qu'on pourrait décrire en quelques mots, en ajoutant merveille de la littérature, ce bouquin, ou cet auteur. Certes, c'est vulgaire, mais à défaut de se mentir et donner une image différente de lui même aux autres, l'auteur se sert de ce registre afin de raconter ses histoires mêlant meurtres, sexe, drogues, alcools et sport; et c'est bien nécessaire.
Mélangeant vide ordinaire et pure fiction, Mr Bukowski nous livre ici non pas une simple pépite d'or, mais une mine entière, qu'on lit et qu'on adore relire. On pourrait comparé son humour à celui d'un certain, plus ou moins apprécié, Bigard; ou bien comparé son comportement à un certain Kurt Cobain (lui aussi plus ou moins apprécié). Mais au final c'est bien dans le monde de Hank que nous nous évadons.
Finalement, ce sont ces histoires, sales et vulgaires que nous apprécions et que nous redemandons.
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Créée
le 11 févr. 2016
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