50 ans au fil de l'eau
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le 1 juil. 2015
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Le dernier recueil de Joséphine Bacon possède une douceur à la fois piquante et bouleversante. Elle y parle du vieillissement en restant ouverte sur l’extérieur. Kau minuat · Une fois de plus célèbre autant l’espace large du temps que la vitalité de la nature, notamment avec la figure centrale de l’arbre. Tout est vivant dans cette poésie qui parle notamment de la mort. Mais ce n’est pas un atermoiement, ni une complainte. C’est un appel à respecter toutes les vies possibles, rester à l’écoute de notre environnement, tandis que les âges passent et que l’horizon d’une fin se perçoit. L’écriture de Joséphine Bacon reflète une forme de sagesse qui n’a rien avoir avec le cliché que l’on peut rattacher aux peuples autochtones d’Amérique du Nord.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2023/09/15/kau-minuat-%c2%b7-une-fois-de-plus-josephine-bacon/
Créée
le 15 sept. 2023
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