La télévision tue
Au regard de ce que l'on m'avait vendu comme "le sommet de l'épouvante japonaise" ces dernières années, force est de constater que le film n'est pas véritablement à la hauteur ; le pleutre que je...
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le 2 nov. 2019
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Qu'il serait bon qu'une grande partie des inscrits sur ce site lisent ne serait-ce que quelques pages de L'art à l'état vif ! Si l'on pardonne à l'essai ses quatre préfaces (dans sa nouvelle traduction française, publiée aux Éditions de l'Éclat) trop protocolaires, et - surtout - (et c'est bien cela qui m'empêche de mettre 10) la partie maladroite à propos de Talkin' All That Jazz du groupe Stetsasonic (qui a bien mal vieilli et se trompe plus d'une fois en essayant de définir ce qu'est la musique rap, quoique l'intention soit louable), l'ouvrage est parfait. Une lecture nécessaire pour moi, et sans doute formatrice ; m'aura permis de mettre un nom sur ce sentiment que je mûris depuis quelques années (le naturalisme esthétique", ou l'art comme expérience autonome, et indépendante du goût et des canons), aussi de m'initier à la philosophie pragmatiste, que je ne connaissais pas auparavant, mais qui m'intrigue énormément - désormais. Enfin, il n'en a pas fallu beaucoup pour déconstruire la légitimité et l'efficacité, à mes yeux, des théories de "l'art pour l'art" ; c'est regrettable : les esthétiques romantiques me passionnent.
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Créée
le 19 févr. 2020
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