Un roman à l'atmosphère plutôt sombre, au vocabulaire loufoque, rempli de situations absurdes et farfelues avec un humour particulier. Personnellement, j'ai trouvé qu'il y avait un manque d'émotions dans les personnages, leurs relations et les divers scènes. Les femmes y sont décrites comme des objets sexuels, et hommes et femmes sont vus comme des sortes de marchandises facilement remplaçables.
La mesquinerie humaine est mis en avant, tout comme les aberrations d'une entreprise et la mort (car il y en a un certain nombre qui ne finit pas l'histoire).
Malgré ma persévérance, je n'adhère pas au style de Boris Vian ni à ses histoires. Il me reste cependant "L’Écume des jours" à lire (le dernier livre que je lirai de l'auteur je pense), et j'espère que j'en ressortirai pas aussi indifférente que mes autres lectures de cet auteur.