Que dire de ce titre enchanteur, L'ECUME DES JOURS
wouah ! Pourtant, autant vous dire des le début qu'il m'a déplu. Au bout d'une centaine de pages, il fallait être déjà bien concentré : dans une chambre bien isolé loin des querelles de mes parents. Après tout, soit ça passe ou ça casse.
L'écrivain nous melle les pinceaux en ajoutant des jeux de mots " doublezons " c'est une monnaie que Vian a inventé " Jean-Sol Partre " : Jean-Paul Sartre " pianocktail " " chuiche " réel confusion quand on lit ces mots. En effet, Boris Vian dit lors de l'avant propos : " La langue et le style peuvent importer autant que l'imaginaire lui-même. C'est le cas de l'Ecume des jours où la forme participe intimement à l'originalité poétique. " Et puis il complète avec une souris à moustache et le mot de la fin, il parle. De plus, les descriptions sont trop imaginés bien que ce soit une fiction.
C'est un roman fantastique et poétique ou tout est permis : " Colin, s'armant du coupe-ongles, tailla en biseau les coins de ses paupières mates, pour donner du mystère à son regard. " Bien que ce soit de la grande littérature moderne cela me laisse dans le doute. Alors, pour connaître le livre du bout des doigts et savoir tous ses secrets il faut le relire une deuxième fois voir faire une analyse littéraire.